Aimer... T'aimer... ça n'a pas été facile...
Oublier... ne plus avoir peur... oser...ça n'a pas été facile...
Se remettre à rêver...pardonner...comprendre...ça n'a pas été facile...
Puis, j'ai ouvert la porte et je t'ai vu arriver... et je me suis transformée...tout est devenu facile... peu importe ce qui se passera... le ciel s'est ouvert et je t'ai vu sourire...
Tu me manques...où que tu sois...
mardi 31 mars 2009
jeudi 19 mars 2009
Te dire...
Un soir, je prendrai mon courage à deux mains et je te dirai tout. Je te dirai ce que personne ne sait, ce qu'il est difficile d'avouer...même à toi. Des secrets inavouables, des blessures profondes, des manques inconsolables, ...tout ce qui se cache derrière mon sourire que tu aimes tant...
Un jour, peut-être, je te raconterai mes nuits de cauchemars, mes rêves déçus, mes regrets éternels, mes silences oppressants...
Si j'en ai le courage, je te dirai aussi que j'ai mal, mal comme personne...
Et je te supplierai de m'aider...
Tu m'aideras?
...
Un jour, peut-être, je te raconterai mes nuits de cauchemars, mes rêves déçus, mes regrets éternels, mes silences oppressants...
Si j'en ai le courage, je te dirai aussi que j'ai mal, mal comme personne...
Et je te supplierai de m'aider...
Tu m'aideras?
...
Just breathe
Parfois, on voudrait juste traverser la rue...sans avoir peur de tomber en chemin.
Ou retourner en arrière. Le temps de le voir sourire. De sentir son parfum. Le serrer fort pour l'empêcher de nous échapper. Lui dire toutes ces choses qu'on n'a pas osées.
Parfois, on voudrait perdre toute notion de temps. Mélanger le passé et le futur sans avoir peur du présent.
On prend une grande respiration. On pose son pied doucement sur la rue et on avance en fermant les yeux...On pense à lui, à nous, à nos rêves. Même si tout se mélange, c'est bien là et personne ne pourra jamais nous l'enlever. Puis, on se met à courir parce qu'on crêve de peur de le perdre...on court à en perdre haleine...
et parfois, en dépit de toute logique, on atteint l'autre côté sain et sauf.
Ou retourner en arrière. Le temps de le voir sourire. De sentir son parfum. Le serrer fort pour l'empêcher de nous échapper. Lui dire toutes ces choses qu'on n'a pas osées.
Parfois, on voudrait perdre toute notion de temps. Mélanger le passé et le futur sans avoir peur du présent.
On prend une grande respiration. On pose son pied doucement sur la rue et on avance en fermant les yeux...On pense à lui, à nous, à nos rêves. Même si tout se mélange, c'est bien là et personne ne pourra jamais nous l'enlever. Puis, on se met à courir parce qu'on crêve de peur de le perdre...on court à en perdre haleine...
et parfois, en dépit de toute logique, on atteint l'autre côté sain et sauf.
lundi 2 mars 2009
Quand la société prend la fuite...
Croyez-moi...ça craint d'être jeune en 2009...
Nous, on croit savoir ce que c'est d'être jeune parce que c'était y a pas si longtemps que ça... on se souvient de nos fous rires en classe, de notre premier baiser en voyage scolaire, de la peur de devoir embrasser le moche de service pendant une séance d'action-vérité (ou le jeu le plus cruel du monde), de nos délires...
Nous, on n'a jamais été choisi au hasard dans une cour de récré pour se faire frapper, tabasser devant nos copains, trop lâches que pour réagir ou peut-être sous le choc par cette violence gratuite...non, on n'a pas vu deux mecs qu'on n'avait jamais vu avant débarquer dans notre cour de récré, et jouer pour savoir qui ils allaient frapper...lui, lui, moi...ça sera moi. On n'a pas eu le souffle coupé quand ils se sont jetés sur nous, comme ça, gratuitement.
Nous, on n'a jamais été suivi par une bande de 5 garçons qui nous insultaient et pressaient le pas au fur et à mesure qu'on avançait plus vite...Non, on ne se faisait pas insulter parce qu'on était jolie et qu'on avait pas forcément envie de se faire draguer par 5 gros lourds.
Nous, on n'avait pas à se battre tous les jours pour imposer notre personnalité, nos envies, nos rêves...
Ca craint d'être jeune en 2009...
Nous, on croit savoir ce que c'est d'être jeune parce que c'était y a pas si longtemps que ça... on se souvient de nos fous rires en classe, de notre premier baiser en voyage scolaire, de la peur de devoir embrasser le moche de service pendant une séance d'action-vérité (ou le jeu le plus cruel du monde), de nos délires...
Nous, on n'a jamais été choisi au hasard dans une cour de récré pour se faire frapper, tabasser devant nos copains, trop lâches que pour réagir ou peut-être sous le choc par cette violence gratuite...non, on n'a pas vu deux mecs qu'on n'avait jamais vu avant débarquer dans notre cour de récré, et jouer pour savoir qui ils allaient frapper...lui, lui, moi...ça sera moi. On n'a pas eu le souffle coupé quand ils se sont jetés sur nous, comme ça, gratuitement.
Nous, on n'a jamais été suivi par une bande de 5 garçons qui nous insultaient et pressaient le pas au fur et à mesure qu'on avançait plus vite...Non, on ne se faisait pas insulter parce qu'on était jolie et qu'on avait pas forcément envie de se faire draguer par 5 gros lourds.
Nous, on n'avait pas à se battre tous les jours pour imposer notre personnalité, nos envies, nos rêves...
Ca craint d'être jeune en 2009...
lundi 26 janvier 2009
Tout bascule...
Comment ça a commencé lui et moi… Je n’en ai aucune idée. J’aimerais vraiment me souvenir du moment précis où je me suis dit « c’est lui » mais à chaque fois, c’est pareil…les détails changent. Pourtant, j’essaie de me concentrer mais c’est comme si l’histoire ne s’était jamais vraiment écrite. Je suis dans ma chambre seule. A la caisse du supermarché. En cours de français. Devant lui. Je porte un jeans et des ballerines roses. Une petite robe blanche que ma maman trouve trop décolletée. Une jupe noire que mon papa trouve trop courte. A chaque fois que je m’imagine cet instant, celui où tout a basculé, j’ai le cœur qui bat à cent à l’heure. Tellement fort que je dois m’accrocher à ce qui est à portée de main. Une rampe d’escalier. La main de ma meilleure amie. Le mur de l’école. A chaque fois, je voudrais qu’il soit là pour me voir défaillir, qu’il sache que je perds pied quand il s’agit de lui. A chaque fois, je voudrais qu’il soit là et qu’il vienne me sauver. Qu’il me serre pour que je respire enfin. Je ne regarde jamais autour de moi avant que le ciel n’étouffe mon cœur, il n’est pas là. Je le sais. Il se cache pour mieux revenir. Au moment où je ne m’y attendrais pas. Au moment où je me dirais que je peux vivre sans lui. Il reviendra et je me rendrai compte que je ne faisais que me mentir.
Je ne sais plus comment ça a commencé et j'ignore comment cela va se terminer... si cela se termine un jour car je ne suis pas certaine d'avoir envie de vivre sans lui. J'ai essayé. J'ai échoué...
dimanche 21 décembre 2008
Le jour où j'ai rencontré Mark Owen...
Qu'est-ce que j'ai pu rêver de lui...
On ne se rend pas toujours compte à quel point le temps passe vite.... on s'endort petite fille et on se réveille devant des posters d'un groupe anglais. Des photos de 5 jeunes très beaux chanteurs anglais qui occupent chaque centimètre carré de la chambre. Au revoir barbies et poupées, bienvenue MTV et 7extra...
On grandit avec eux; leur chanson dans la tête, leurs sourires dans nos rêves...souvent, on se dit amoureuses d'eux et on hésite pas à se faire appeler Manon Owen, Stéphanie Barlow, Mélissa orange, Sara Donald ou Emilie Williams...
Ils décident de se séparer, on pleure, on passe le CD en boucle et puis...on oublie...
Jusqu'au jour où ils reviennent et où tous les souvenirs resurgissent violemment ...un peu comme si ils nous en voulaient d'être restés si longtemps enfouis....
mais là, une chose a changé...on a grandit et petite maman ne peut plus nous empêcher d'aller les voir à Paris...
Ils descendent de l'eurostar...et vous le voyez...Mark...il s'approche et ...vous retombez amoureuse...
mardi 9 décembre 2008
Shit!
Je merde souvent. Je le fais pas exprès hein...c'est juste que dans certains domaines, j'ai plutôt tendance à merder.
En amour, par exemple.
Premier amour: un garçon pris et déjà très amoureux. Laeti me dit "oublie". Moi, je pense "mais quelle belle histoire ça va être"....oui tu parles, 10 ans plus tard, on est au même point...c'est-à-dire je sais pas très bien où...
Deuxième amour: mon Dieu, un Parisien...là encore, laetitia me dit "mais n'importe quoi...t'as pas envie de te faciliter la vie?". Moi, je pense "mais quelle belle histoire ça va être...et si c'était lui l'homme de ma vie". 9 mois d'aller-retour Paris-bruxelles, des heures de web-chat-skype-cam plus tard...une super conversation met un terme à ce qui fût quand même une jolie histoire...
Troisième presqu'amour: un amoureux d'enfance. laeti me dit "tente, c'est le bon et si grâce à lui, tu restes en Belgique...je l'aime déjà". Et cette fois, j'aurai vraiment pas du écouter celle qui pourtant me connaît mieux que n'importe qui...parce que c'est elle que j'ai appelé en presque pleurs (ben oui c'était une presque histoire aussi) parce que j'étais quand même un peu beaucoup triste...
Y a rien à dire, j'ai le chic pour me trouver les garçons qui repartent à chaque fois avec un ptit bout de mon coeur....
En amour, par exemple.
Premier amour: un garçon pris et déjà très amoureux. Laeti me dit "oublie". Moi, je pense "mais quelle belle histoire ça va être"....oui tu parles, 10 ans plus tard, on est au même point...c'est-à-dire je sais pas très bien où...
Deuxième amour: mon Dieu, un Parisien...là encore, laetitia me dit "mais n'importe quoi...t'as pas envie de te faciliter la vie?". Moi, je pense "mais quelle belle histoire ça va être...et si c'était lui l'homme de ma vie". 9 mois d'aller-retour Paris-bruxelles, des heures de web-chat-skype-cam plus tard...une super conversation met un terme à ce qui fût quand même une jolie histoire...
Troisième presqu'amour: un amoureux d'enfance. laeti me dit "tente, c'est le bon et si grâce à lui, tu restes en Belgique...je l'aime déjà". Et cette fois, j'aurai vraiment pas du écouter celle qui pourtant me connaît mieux que n'importe qui...parce que c'est elle que j'ai appelé en presque pleurs (ben oui c'était une presque histoire aussi) parce que j'étais quand même un peu beaucoup triste...
Y a rien à dire, j'ai le chic pour me trouver les garçons qui repartent à chaque fois avec un ptit bout de mon coeur....
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