J'voulais t'écrire un ptit texte joli hier, un peu niais mais joli quand même...
C'est toujours comme ça après une soirée avec toi. L'impression d'en dire trop ou pas assez. Peut-être que parfois un regard ou un sourire suffit... c'est ça l'amour, non? Et as-tu vraiment besoin que je te dise les choses... ou est-ce plus beau de les deviner?
Tu n'as besoin que de ça...Deviner mes mots tendres lorsque je te regarde au fond des yeux, être rassuré par ma main qui glisse dans la tienne comme par magie, te sentir protégé par mon sourire...besoin de rien d'autre.
Enfin, je voulais t'écrire un ptit texte joli mais voilà je me suis endormie...
mercredi 15 octobre 2008
mardi 7 octobre 2008
Love, faith, hope, friends...
C'est pas facile de grandir, d'avoir des responsabilités, de se sentir changer alors qu'au fond, on voudrait rester la même...
C'est pas facile de savoir ce qu'on veut vraiment, d'être sûre de ses choix, de savoir avec certitude où on va...
C'est pas facile de prendre des décisions qui peuvent faire mal à des personnes que l'on aime plus que tout... mais voilà, un jour, il faut grandir...
passer son permis
tomber vraiment amoureuse
apprendre à devenir moins naïve et moins rêveuse
réussir à se persuader que l'on a bien fait de renoncer à la vie qui nous attendait au mois de juillet
aimer son travail jour après jour et les aimer eux aussi car c'est ça aussi le travail
ne jamais oublier qui l'on est
les aimer toujours plus fort parce que lorsque la vie vous fait des gros dos... ils sont là
C'est pas facile de savoir ce qu'on veut vraiment, d'être sûre de ses choix, de savoir avec certitude où on va...
C'est pas facile de prendre des décisions qui peuvent faire mal à des personnes que l'on aime plus que tout... mais voilà, un jour, il faut grandir...
passer son permis
tomber vraiment amoureuse
apprendre à devenir moins naïve et moins rêveuse
réussir à se persuader que l'on a bien fait de renoncer à la vie qui nous attendait au mois de juillet
aimer son travail jour après jour et les aimer eux aussi car c'est ça aussi le travail
ne jamais oublier qui l'on est
les aimer toujours plus fort parce que lorsque la vie vous fait des gros dos... ils sont là
mardi 12 août 2008
Pick me, choose me, love me...
D'un côté, vous avez le joli véto...rassurant, fou amoureux de vous, tendre,...une vie en Belgique avec ceux que vous aimez fort et sans qui vous ne pouvez pas vivre, un chouette boulot dans une école que vous aimez avec des collègues et des élèves que vous aimez tout autant et un point d'interrogation qui vous pèse sur le coeur...
De l'autre, Docteur Mamour...rempli de souvenirs, de fous rires sous la couette, aventureux, passioné, imprévisible, qui vous a déjà fait souffir une fois... une vie à Rome, un boulot peu stable et le risque de connaître des problèmes d'argent à un moment donné, des copains que vous ne connaissez pas encore bien même si ils sont super chouettes, une ville magique qui vous met le coeur à l'envers ...
Un choix s'impose...
mais lequel...
De l'autre, Docteur Mamour...rempli de souvenirs, de fous rires sous la couette, aventureux, passioné, imprévisible, qui vous a déjà fait souffir une fois... une vie à Rome, un boulot peu stable et le risque de connaître des problèmes d'argent à un moment donné, des copains que vous ne connaissez pas encore bien même si ils sont super chouettes, une ville magique qui vous met le coeur à l'envers ...
Un choix s'impose...
mais lequel...
samedi 9 août 2008
Le mensonge en dix leçons...
Quand j'avais 6 ans, ma maman me disait que "mentir, c'était mal... très très mal" et me faisait les méchants yeux. Les yeux qu'elle me faisait rarement puisque j'étais une petite fille presque sans défaut...
A 16 ans, je me disais que bien sûr, mentir c'était mal mais de dire à xavier-marie que je le trouvais coincé, beauf, lourd, prétentieux, con et sans aucun charme... c'était un peu méchant et gratuitement en plus. Alors, je m'inventais un copain imaginaire et très très fort et surtout très très jaloux et xavier-marie essayait de faire craquer une autre fille en lui sortant son porte-feuille rempli de billets et sa grosse mercedes qu'il pourrait conduire quand il aurait son permis. Aujourd'hui, il doit être marié à une proute-ma-chère qui adooooooooooore la nouvelle collection de Gucci mais je suis certaine, et dans un sens ça me rend un peu triste, qu'ils n'ont ni l'un ni l'autre conscience de la vraie valeur de l'amour. Parfois, un baiser, un sourire, un regard, un morceau joué à la guitare rien que pour vous... ça vaut tous les bijoux du monde...
A 20 ans, en plein examen d'encyclopédie de la traduction (rassurez-vous, le cours est plus intéressant que son titre), quand le prof me demande "alors mademoiselle, vous avez lu mon livre?"... question qu'il a posée à bcp d'étudiants et à laquelle bcp ont répondu par l'affirmative alors que non, clairement, ils ne l'avaient pas lu... je me suis rappelée du conseil de petite maman, j'ai voulu être honnête et résultat...
"rassurez-vous mademoiselle, vous allez avoir deux mois pour le lire puisque nous nous voyons en septembre..."
Alors forcément, aujourd'hui, parfois vous vous dites qu'un tout petit mensonge ne peut pas faire de tort...et vous débarquez à Rome et votre patron, genre un mec super important puisqu'il est tjs au téléphone ET en costume trois-pièces, vous demande de passer dans son bureau pour "mettre les choses au clair"... oui, ça fait peur... j'ai eu mal au ventre pendant une heure avant de passer dans son bureau et là...
"Lo so... dire buggie non è una cosa... beh devi dire agli studenti che sei Americana perchè pensano che tu sia di madre lingua inglese..." *
Alors, une chose est sûre... c'est pas à Rome que je vais apprendre à arrêter d'embellir la vérité ;)
*"Je sais... dire des mensonges n'est pas .... mais bon, tu dois dire aux élèves que tu es Américaine parce qu'ils pensent (enfin, nous les crétins de la direction de l'école leur avont menti en leur disant**) que tu es de langue maternelle anglaise..."
* traduction officielle de l'italien
**note du traducteur
A 16 ans, je me disais que bien sûr, mentir c'était mal mais de dire à xavier-marie que je le trouvais coincé, beauf, lourd, prétentieux, con et sans aucun charme... c'était un peu méchant et gratuitement en plus. Alors, je m'inventais un copain imaginaire et très très fort et surtout très très jaloux et xavier-marie essayait de faire craquer une autre fille en lui sortant son porte-feuille rempli de billets et sa grosse mercedes qu'il pourrait conduire quand il aurait son permis. Aujourd'hui, il doit être marié à une proute-ma-chère qui adooooooooooore la nouvelle collection de Gucci mais je suis certaine, et dans un sens ça me rend un peu triste, qu'ils n'ont ni l'un ni l'autre conscience de la vraie valeur de l'amour. Parfois, un baiser, un sourire, un regard, un morceau joué à la guitare rien que pour vous... ça vaut tous les bijoux du monde...
A 20 ans, en plein examen d'encyclopédie de la traduction (rassurez-vous, le cours est plus intéressant que son titre), quand le prof me demande "alors mademoiselle, vous avez lu mon livre?"... question qu'il a posée à bcp d'étudiants et à laquelle bcp ont répondu par l'affirmative alors que non, clairement, ils ne l'avaient pas lu... je me suis rappelée du conseil de petite maman, j'ai voulu être honnête et résultat...
"rassurez-vous mademoiselle, vous allez avoir deux mois pour le lire puisque nous nous voyons en septembre..."
Alors forcément, aujourd'hui, parfois vous vous dites qu'un tout petit mensonge ne peut pas faire de tort...et vous débarquez à Rome et votre patron, genre un mec super important puisqu'il est tjs au téléphone ET en costume trois-pièces, vous demande de passer dans son bureau pour "mettre les choses au clair"... oui, ça fait peur... j'ai eu mal au ventre pendant une heure avant de passer dans son bureau et là...
"Lo so... dire buggie non è una cosa... beh devi dire agli studenti che sei Americana perchè pensano che tu sia di madre lingua inglese..." *
Alors, une chose est sûre... c'est pas à Rome que je vais apprendre à arrêter d'embellir la vérité ;)
*"Je sais... dire des mensonges n'est pas .... mais bon, tu dois dire aux élèves que tu es Américaine parce qu'ils pensent (enfin, nous les crétins de la direction de l'école leur avont menti en leur disant**) que tu es de langue maternelle anglaise..."
* traduction officielle de l'italien
**note du traducteur
vendredi 8 août 2008
Tout fout le camps...
En 2008, j'aurai pleuré beaucoup et entamé mon quota de larmes pour 2009 & 2010.
En 2008, tu m'as quittée...tu es partie sans faire de bruit. C'est ce qui fait le plus de mal parce que jamais, je n'aurais pu imaginer que tu puisses arrêter de respirer. A l'hôpital, ils nous ont dit que c'est ton coeur qui avait cessé de battre mais ils se sont trompés, ils ne te connaissent pas... moi, je sais que ton coeur ne s'arrêtera jamais de battre. Où que tu sois...
Merci de m'avoir élevée, d'avoir couru avec moi après la glace quand j'avais 7 ans, d'être allée me rechercher chez la voisine raconteuse d'histoires magiques parce que maman allait arriver et qu'elle allait me gronder d'être encore chez les gens si tard; merci de m'avoir fait des robes de princesses, celles qu'une petite fille ne pourra jamais oublier; merci de m'avoir permis d'être celle que je suis aujourd'hui; merci de m'avoir donné le biberon, changée, bercée, endormie, écoutée, encouragée, défendue... et tout simplement aimée.
On se retrouve... d'ici quelques années. On en aura des choses à se raconter... et moi, quelques-une à me faire pardonner...
En 2008, tu m'as quittée...tu es partie sans faire de bruit. C'est ce qui fait le plus de mal parce que jamais, je n'aurais pu imaginer que tu puisses arrêter de respirer. A l'hôpital, ils nous ont dit que c'est ton coeur qui avait cessé de battre mais ils se sont trompés, ils ne te connaissent pas... moi, je sais que ton coeur ne s'arrêtera jamais de battre. Où que tu sois...
Merci de m'avoir élevée, d'avoir couru avec moi après la glace quand j'avais 7 ans, d'être allée me rechercher chez la voisine raconteuse d'histoires magiques parce que maman allait arriver et qu'elle allait me gronder d'être encore chez les gens si tard; merci de m'avoir fait des robes de princesses, celles qu'une petite fille ne pourra jamais oublier; merci de m'avoir permis d'être celle que je suis aujourd'hui; merci de m'avoir donné le biberon, changée, bercée, endormie, écoutée, encouragée, défendue... et tout simplement aimée.
On se retrouve... d'ici quelques années. On en aura des choses à se raconter... et moi, quelques-une à me faire pardonner...
mercredi 4 juin 2008
Carrie, Mister Big & Me ...

C'est vrai... Ecrire sur le sexe et les relations amoureuses, c'est hyper facile. Il suffit de tendre un peu l'oreille... nous sommes entourés d'histoires d'amour et de sexe. Jolie. Glauque. Triste. Pathétique. Drôle.
Mettre des mots, ses mots sur des histoires roses en portes-jaretelles, c'est hyper simple.
Acheter des chaussures et pousser un cri de joie lorsque les petits escarpins roses n'existent plus qu'en 39... Ma pointure! C'est facile. Sortir sa carte visa. 110 euros. On en parle plus... ou du moins avant le 23 du mois, date à laquelle monsieur Visa, avec qui vous avez été pourtant généreuse les mois suivants, vous envoie sa petite note.
Puis avoir un Mister Big, c'est très facile aussi. Il suffit de le rencontrer à une période où il est pris et vous sentimentalement dans le doute. De rester en contact. Mais pas tous les jours. De ne pas pouvoir vous empêcher de vous embrasser quand vous voyez même si vous savez qu'au fond, c'est mal. De ne pas pouvoir vous empêcher de l'aimer même si vous savez qu'au fond, c'est mal. De le laisser vous faire du mal parce qu'au fond, ça vous fait du bien.
Puis heureusement, il y a Miranda, Sam et Charlotte... ;)
jeudi 8 mai 2008
Prologue
Il faut un début à tout…
Quand j’avais 10 ans, je me nourrissais exclusivement de nounours de guimauve enrobés de chocolat au lait, de fraises tagada, de poudre au citron qui fait piquer les yeux, de sucettes qui changent de couleur, de chiques qui font de grosses bulles qui claquent, de cerises acidulées et de nic-nac.
Ma vie était alors un gigantesque arc-en-ciel sucré, édulcoré et coloré artificiellement sur lequel se promenaient sans complexe Candy, Georgie, mon petit poney (le blanc avec des crins mauves), Clémentine et toute la clique des bisounours. Ca rassurait les parents, les instituteurs et les parents des amies d’école primaire… J’étais une petite fille normale.
Aujourd’hui, le noir domine dans mon alimentation et mon arc-en-ciel a des allures de ruine de guerre. J’ai un arrière-goût de violence, pornographie et intolérance dans la bouche. Je bouffe du conflit israélo-palestinien au matin, une petite dose d’attaques suicides pour goûter ; à midi, j’ai le ventre qui sonne creux avec les enfants sous-alimentés du tiers-monde et les malades du sida ; à 16h, il est temps d’ingurgiter ma dose de Bush et de guerre en Irak ; le soir, j’ai la nausée, je me fais vomir…autant être « in » et moi aussi faire partie du clan très fermé des anorexiques-aspirantes-pseudo-star. Si j’ai un peu de chance, le bachelor me choisira…
J’étais revenue sur l’arc-en-ciel pour la surprise-party de Candy le jour où il m’a appelée pour me quitter. Pendant que sa voix prononçait des mots qu’il avait sans doute du répéter dans sa tête pendant des heures car ce n’est pas simple de quitter quelqu’un, surtout une fille dans mon genre qui ne s’y attend pas et qui va sans doute pleurer beaucoup (alors il prévoit le coup aussi et se dit qu’il pleurera aussi pour faire genre je-suis-pas-un-salaud-moi-aussi-ça-me-fait-de-la-peine-de-te-quitter-peut-être-même-plus-qu’à-toi), je pense à la misère dans le monde. Je me dis qu’au moment où il me quitte 4 enfants meurent de malnutrition, 2 Africains contractent le virus du Sida, un homme se prépare à se faire sauter dans une rue d’Israël, une petite fille se fait violer par son père.
Je voudrais lui dire tout ça mais je pleure et j’emmerde la misère du monde. Ce soir, c’est moi la victime, la malheureuse, la pauvre orpheline, la SDF, la sidéenne, la fille qui a raté son bac, la petite fille tabassée. Il a porté un coup fatal à mon joli arc-en-ciel que j’avais ressorti depuis quelques mois pour l’occasion.
Je voudrais alors lui dire des mots qui claquent, qui blessent, qui font mal, qui tuent mais dès que j’ouvre la bouche, je sanglote et lui crie « comment tu peux me faire ça, à moi ? ».
C’est vrai, à une pauvre conne moche et sans cervelle, une top biche méchante et arrogante, une ambitieuse coincée et hautaine, je comprendrais mais là…moi qui l’aime depuis 9 mois, j’ai du mal à saisir. Je me fais pitié et je me dis qu’il a bien raison de quitter une nunuche comme moi…
Au fait Candy, tu peux aller ranger tes boules à facettes et ta robe en strass mauve… de toutes façons, elle te faisait de grosses fesses et le Prince des collines s’est tapé Clémentine pendant que tu préparais ton punch sans alcool.
Quand j’avais 10 ans, je me nourrissais exclusivement de nounours de guimauve enrobés de chocolat au lait, de fraises tagada, de poudre au citron qui fait piquer les yeux, de sucettes qui changent de couleur, de chiques qui font de grosses bulles qui claquent, de cerises acidulées et de nic-nac.
Ma vie était alors un gigantesque arc-en-ciel sucré, édulcoré et coloré artificiellement sur lequel se promenaient sans complexe Candy, Georgie, mon petit poney (le blanc avec des crins mauves), Clémentine et toute la clique des bisounours. Ca rassurait les parents, les instituteurs et les parents des amies d’école primaire… J’étais une petite fille normale.
Aujourd’hui, le noir domine dans mon alimentation et mon arc-en-ciel a des allures de ruine de guerre. J’ai un arrière-goût de violence, pornographie et intolérance dans la bouche. Je bouffe du conflit israélo-palestinien au matin, une petite dose d’attaques suicides pour goûter ; à midi, j’ai le ventre qui sonne creux avec les enfants sous-alimentés du tiers-monde et les malades du sida ; à 16h, il est temps d’ingurgiter ma dose de Bush et de guerre en Irak ; le soir, j’ai la nausée, je me fais vomir…autant être « in » et moi aussi faire partie du clan très fermé des anorexiques-aspirantes-pseudo-star. Si j’ai un peu de chance, le bachelor me choisira…
J’étais revenue sur l’arc-en-ciel pour la surprise-party de Candy le jour où il m’a appelée pour me quitter. Pendant que sa voix prononçait des mots qu’il avait sans doute du répéter dans sa tête pendant des heures car ce n’est pas simple de quitter quelqu’un, surtout une fille dans mon genre qui ne s’y attend pas et qui va sans doute pleurer beaucoup (alors il prévoit le coup aussi et se dit qu’il pleurera aussi pour faire genre je-suis-pas-un-salaud-moi-aussi-ça-me-fait-de-la-peine-de-te-quitter-peut-être-même-plus-qu’à-toi), je pense à la misère dans le monde. Je me dis qu’au moment où il me quitte 4 enfants meurent de malnutrition, 2 Africains contractent le virus du Sida, un homme se prépare à se faire sauter dans une rue d’Israël, une petite fille se fait violer par son père.
Je voudrais lui dire tout ça mais je pleure et j’emmerde la misère du monde. Ce soir, c’est moi la victime, la malheureuse, la pauvre orpheline, la SDF, la sidéenne, la fille qui a raté son bac, la petite fille tabassée. Il a porté un coup fatal à mon joli arc-en-ciel que j’avais ressorti depuis quelques mois pour l’occasion.
Je voudrais alors lui dire des mots qui claquent, qui blessent, qui font mal, qui tuent mais dès que j’ouvre la bouche, je sanglote et lui crie « comment tu peux me faire ça, à moi ? ».
C’est vrai, à une pauvre conne moche et sans cervelle, une top biche méchante et arrogante, une ambitieuse coincée et hautaine, je comprendrais mais là…moi qui l’aime depuis 9 mois, j’ai du mal à saisir. Je me fais pitié et je me dis qu’il a bien raison de quitter une nunuche comme moi…
Au fait Candy, tu peux aller ranger tes boules à facettes et ta robe en strass mauve… de toutes façons, elle te faisait de grosses fesses et le Prince des collines s’est tapé Clémentine pendant que tu préparais ton punch sans alcool.
Inscription à :
Articles (Atom)