dimanche 25 mars 2007

Au revoir ma petite pralinette...

Ce matin, enfin, il y a une heure environ... Mon petit chat est mort. Il aurait pu tomber d'un toit ou se faire écraser par une méchante Mercedes mais non.

Le vétérinaire l'a piquée parce qu'elle souffrait trop à cause d'une leucémie ou d'un cancer. On ne saura jamais et je m'en fous.

Je sais que pleurer la mort d'un chat peut sembler idiot vu le nombre de personnes humaines qui meurent à chaque seconde aux quatre coins du monde à cause de différents fléaux mais voilà, elle était mon petit chat, ma petite boule de poil avec qui je dormais, à qui je faisais des calins et à qui je confiais tout, encore à 24 ans.

Je sais aussi qu'elle est mieux là où elle est que dans le fauteuil à souffrir, incapable de manger et de dormir mais j'aurais voulu la protéger, l'empêcher de tomber malade et de partir.

C'est idiot mais elle va vraiment me manquer...

mardi 20 mars 2007

Un jour, mon prince viendra... {part two}

Mon premier bal a été un réel moment de pur bonheur... Surtout sur le coup de 2h50 du matin... mais avant ça...

Je me suis rendue compte que j'avais de la chance d'avoir des collègues aussi chouettes (parce que visiblement, c'est pas donné à tout le monde...). Entre les petits pas de danse dans la salle à orchestre, les bouteilles de champagne (désolée d'être si maladroite une coupe de champagne dans la main Céline), notre superbe interprétation du Jerk devant nos élèves et surtout nos fous rires avec Virginie et Manu qui ont résonné plusieurs fois dans les couloirs de l'athénée, on peut dire que la soirée était presque parfaite... même si j'avais hâte de m'enfuir pour le retrouver.

2h30, je commence à avoir chaud... Virginie n'arrête pas de me sourire, elle doit se douter de quelque chose... j'ai du mal à servir les derniers clients, un ptit bisou à mes élèves avant de partir, un gros bisous à mes collègues que j'adore et hop, me voilà sortie de la chaleur et du bruit pour me retrouver toute seule dans le parking...

Et si il était en retard...

Mais non, il est là et dès que ses lèvres effleurent les miennes, j'ai l'impression que plus rien n'existe: le bal, l'athénée, les collègues et les élèves... ce baiser a tout fait disparaître, il ne reste que lui et moi nous embrassant dans la cour de son ancienne école et de ma nouvelle école.

Les soirées parfaites existent...et les nuits aussi...

mardi 13 mars 2007

Un jour mon prince viendra...

Samedi, c'est le bal de l'athénée...

Tu parles...en 6 ans, j'ai pas été foutue de mettre une seule fois les pieds au bal de l'ISTI (toutes les excuses bidons y sont passées, surtout celle de "j'ai pas de cavalier"...imparable) et là, je dois aller bosser au bal de l'athénée...

Non pas que je sois contre donner un coup de main, bien au contraire... mais j'aurais voulu que mon premier bal (à 24 ans, c'est triste....) soit un vrai bal...un peu comme un premier baiser où on a envie que tout soit parfait, du garçon au moment, un vrai premier baiser digne des plus beaux films romantiques du cinéma hollywoodiens (pour moi, ce fut...râté, il avait du s'inspirer des premiers baisers des grands films romantiques d'Afghanistan).

Bref, j'aurais voulu ne pas devoir quitter ma parure de princesse d'un soir pour aller servir des moules-frites-hot-dog-sandwich au restaurant de minuit à 2h du mat (paske déjà, moi à cette heure-là en général, j'suis chiante et j'ai envie de rentrer et puis paske les moules ça pue et c'est pas bon...)...

J'ai pas voulu me la jouer faisons-le-nouvel-an-le-17-mars et ai donc troqué ma robe noire de nouvel an contre une petite robe couleur pâle (152 euros... hum hum) annonciatrice de printemps... même si à ce bal, la seule personne dont j'ai envie de lire le désir dans les yeux ne sera pas là...

samedi 3 mars 2007

La vendeuse et la chieuse...

Cet article pourrait être écrit comme une fable de ce cher La Fontaine mais je n'ai pas trop le courage d'écrire en vers ce soir ni de donner une quelconque leçon de morale...

J'voudrais juste faire passer un petit message aux vendeuses des magasins de vêtements dans lesquels nous allons toutes... Arrêtez de nous prendre pour des connes et de nous dire que "Ce jeans vous va vraiment bien, vous êtes toutes fines dedans" alors qu'il vous fait de grosses fesses ou encore "Cette mini jupe en cuir, c'est ce qu'il vous faut"... hé oh, j'suis prof, pas call-girl...

Si en plus elle essaye de rallier petite maman à sa cause... petite maman qui vous trouve toujours belle, même si cette robe vous va comme un sac... vous êtes fichue! Soit vous vous la jouez cool, vous restez polie, vous souriez et vous achetez une horreur qui ira rejoindre la pile de vos vêtements horribles d'adolescente que vous ne mettez plus depuis 8ans... soit vous vous affirmez, vous dites à la vendeuse que si vous mettez cette robe en public, vous risquez d'être arrêtée pour atteinte à la vie publique et vous sortez du magasin les mains libres et la carte de crédit soulagée...

J'ai souri...